14 janvier 2016 par sosoduret@hotmail.com
Cultiver la joie de vivre dans un quotidien stressant et une société en crise, c’est possible !
L’optimisme, la joie de vivre, certains en ont plus que d’autres; mais loin d’être un don, il s’agit plutôt d’un art (de vivre) à cultiver chaque jour. La bonne nouvelle, c’est que chacun de nous peut améliorer sa joie de vivre et donc son quotidien.
Cela demande d’être capable d’observer, de regarder, de ressentir et donc, évidemment, de faire une pause, de prendre un peu le temps de savourer, apprécier. Car porter son attention sur quelque chose demande un effort et un peu de temps, mais c’est ainsi qu’on peut s’enthousiasmer. Si on traverse la rue, les relations, la vie, sans rien voir, comment nous émerveiller? Ralentir nous permet de passer du faire à l’être.
Et si la source de nos enthousiasmes peut être matérielle, il serait bon de cultiver les sources d’enthousiasme dans l’être…surtout en tant de crise, où l’avoir est une chose fragile, tandis que l’être se cultive à l’infini.
Alors au lieu de consommer des biens, consommons à volonté ces états positifs en nous: SAVOURER, S’EMERVEILLER, S’ENTHOUSIASMER. Et s’il est facile de ressentir ces états là à certains moments de nos vies, il est important d’apprendre à les cultiver indépendamment du contexte. Y a t-il besoin de raisons ou d’événements particuliers pour savourer votre vie?
« L’art de bien vivre s’apprend, il suffit de le décider » (Anne van Stappen »)